Plusieurs études ont montré que l’activité physique et sportive réduisait le risque de développer certains cancers, comme le cancer du côlon et ceux de l’endomètre et du sein, chez la femme. Certains mécanismes l’expliquent : la modulation de la production de certaines hormones, la stimulation du système immunitaire et l’accélération du transit intestinal, réduisant ainsi l’exposition de la muqueuse digestive aux agents cancérigènes de l’alimentation.
La pratique sportive aide également à ralentir les effets physiologiques et cognitifs du vieillissement. Elle contribue à limiter l’ostéoporose, le risque de fractures, ainsi que l’usure progressive du cartilage articulaire et prévient les chutes. Garder un cerveau en forme et lutter contre le déclin cognitif passe également par une activité physique régulière.